Le spectacle «Rendez-vous où tu sais…» sillonne le répertoire de Christian Fougeron, de ses albums solo «Christian Fougeron» et «Pluie d’orage» à Raft («Yaka dansé», dont il est l’auteur-compositeur-interprète, disque d’or et «Femmes du Congo», respectivement 2ème et 20ème du Top 50) en passant par de nouvelles compositions. Rencontres et anecdotes, réelles ou fantasmées, vrais et faux souvenirs s’entremêlent sur fond de carte postale musicale. Les chansons sont mises en scène au gré des impressions de voyage du chanteur-musicien, entre fantaisie, légèreté et tendresse aux lumières assorties (mise en scène et décor : Nadia Malet).
«...La chanson populaire peut aussi être la source de malentendus. Alors que ressort une édition enrichie de l’album «Madagascar» du groupe Raft, c’est l’occasion de jeter une oreille attentive aux titres qu’il contient, plus proches de la chanson engagée que de la bluette, sur des airs venant d’ailleurs. Réécoutez «Yaka dansé», tube de 1987, et «Mi dièze au soleil», et vous ne danserez plus comme avant. Et n’hésitez pas à aller voir sur scène le leader du groupe, Christian Fougeron, dans son spectacle «Rendez-vous où tu sais»... + d’info
(extrait de la chronique «Le mot et la note : populaire diversité» de Matthias Vincenot dans
le n° 62 Déc 2016/Janv 2017 du magazine FrancoFans).
«…Christian Fougeron, soleil en vue… Dans un décor chatoyant et évocateur, il est question de la découverte de soi et de l’autre… Le tableau d’une humanité baignée de lumière où la diversité est reine… il arrive à tailler toujours une fêlure délicate dans ce mur gris pour faire passer la lumière… Un brin de nostalgie au sourire délicat…». + d’info
(extrait chronique DNA par Iuliana Salzani-Cantor du spectacle «Rdv où tu sais…» à l'Illiade)
«... Il continue à composer, à écrire des histoires qu’il fait partager à son public... Ce « Rendez-vous où tu sais », ce sont des retrouvailles... Son public est fidèle, lui aussi... ». + d’info
(extrait de Culturebox-Francetvinfo)
«…Christian Fougeron effeuille encore quelques gourmandises sur de fines harmonies musicales avant de fixer au public conquis un «Rendez-vous où tu sais», probablement là où le bonheur et l’amour réchauffe les coeurs, là où la pluie d’orage abreuve les âmes soeurs…». + d’info
(extrait chronique DNA du spectacle «Rdv où tu sais…» à l’Espace Heyler de Hoerdt)
«...Au rang des surprises puisqu’il en faut toujours une ou deux, je citerais Christian Fougeron, ex du célèbre groupe Raft qui chantait Yaka dansé dans les années 80. Otage de mes idées pré-conçues, je m’attendais à passer 45 minutes d’ennui et il n’en a rien été. Fougeron sort un set à la guitare acoustique, plutôt dépouillé et l’on perçoit un garçon qui écrit des chansons tout à fait dignes d’intérêt qui ne laissent pas l’engagement dans le placard...». + d’info
(festival DécOUVRIR de Concèze, chronique de David Desreumaux, magazine Hexagone)
EPK...
RENDEZ-VOUS OÙ TU SAIS...
En quelques mots...
La Sorbonne (Paris), Festival DécOUVRIR (Concèze), Festival Clair de Nuit (Goxwiller), 20ème anniversaire du festival du Printemps des Bretelles à l’Illiade (Illkirch-Graffenstaden), Pôle culturel de Drusenheim, Centre culturel (Illiade Illkirch-Graffenstaden), Le Camionneur (Strasbourg), Espace culturel du Moulin 9 (Niederbronn-les-Bains), Espace culturel de Vendenheim, Espace culturel le Gabion (Drusenheim), Espace Marceau (Holtzheim), Salle des fêtes de Lampertheim, Espace Heyler (Hoerdt)... + d’info
Les Copains d’Abord années 80 (France 2), Les Copains d’Abord chantent l’été (France 2),
Loft Music (Sud Radio), FrancoFans, Les Années Bonheur (Patrick Sébastien, France 2),
Village Départ (France 3), Les Tubes de l’Été au Top (M6 et W9), Ces Chansons qui font l’Histoire (site du Ministère de l’Éducation Nationale), Bertrand Dicale (France Info), francetvinfo, Melody, Culturebox, Dernières Nouvelles d’Alsace, magazine Top 50, L’Alsace, Hérault Tribune, France 3 Alsace, Le Républicain Lorrain, magazine Hexagone, La Voix du Nord, France Bleu Alsace, Radio Air-Show, Alsace 20... + d’info
«…Les chansons itinérantes de l’Alsacien aux racines corréziennes réussissent un envol en marge de toutes contingences de style… D’une tendresse infinie, les atmosphères musicales jouent sur la corde intimiste et ondoyante pour mieux faire passer par endroits la gravité du propos… Climats vaporeux truffés de non-dits… Entre désenchantement et espoir d’une vie plus facile, la voix subtile de Christian Fougeron ajoute un zeste de nonchalance à l’ensemble… Le secret de «Pluie d’orage» repose sûrement sur cette perméabilité des genres assumée par son auteur… Une écoute ininterrompue de l’album permet de mieux saisir la troublante singularité de la musique de Fougeron : faite d’une pièce, imperméable à l’air du temps, elle ressemble à ces livres que chaque lecture éclaire d’un jour nouveau comme s’ils s’écrivaient encore à mesure qu’on apprend à les aimer…». + d’info
(chronique de Joël Isselé dans le supplément culturel «Reflets» des DNA)
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